Comment réagir en cas de malaise dans le RER ?

Coup de chaud, hypoglycémie, malaise vagal, stress, fatigue… les malaises ça peut arriver à tout le monde. Mais quand cela arrive dans un RER on ne sait pas toujours quoi faire. On vous dit tout.

Quand je ressens les premiers signes d’un malaise

  • Je descends à la gare suivante. Dans la grande majorité des cas, un peu d’air et de l’espace suffisent pour aller mieux. 
  • J’appelle les agents via l’une des bornes présentes sur chaque quai. Ils pourront appeler les secours et faciliter leur arrivée en les guidant dans la gare. 
  • J’attends l’arrivée des agents et des secours sur le quai.

Quand je suis témoin d’un malaise 

  • En cas de suspicion de malaise chez un voyageur, je n’hésite pas à demander s’il se sent mal et s’il a besoin d’aide. 
  • Le cas échéant, je l’aide à sortir du train à la gare suivante. 
  • Si nécessaire, j’appelle un agent via la borne d’appel présente sur chaque quai.

On ne tire pas le signal d’alarme

Il ne doit être actionné qu’en cas de danger, car il génère une immobilisation du train en gare et un arrêt complet du trafic sur la ligne pouvant durer jusqu’à 45 mn.

Dans le cas d’un malaise, la procédure la plus adaptée est de prévenir nos agents grâce aux bornes d’appel à votre disposition sur chaque quai.

Nos bons conseils

En cas de fortes chaleurs, on adapte son comportement. Certains malaises peuvent être évités grâce à une bonne hydratation et alimentation : prévoyez de l’eau et un petit en-cas. 

On écoute son corps, on a souvent tendance à trouver de bonnes raisons de rester à bord : ne pas arriver en retard à un rendez-vous, se convaincre qu’on peut tenir encore, se dire que cela va finir par passer… Quelques minutes prises à quai vous feront gagner bien plus de temps et de sérénité !

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commentaires 1
  1. rasleponpon dit :

    Avec plus de RER et moins de gens entassés, je suis persuadée qu’il y aurait moins de malaises.
    Je me souviens en été 2019 ( donc avant les confinements), les RER E étant décalés à PARIS EST, je prenais le soir à 18 h le A à ETOILE, en pleine canicule, bien sûr, c’était les horaires d’été, c’était l’horreur.Combien de fois il y a eu des malaises de voyageurs???
    Heureusement, grâce ( si l’on peut dire), aux confinements, les étés suivants, il y a eu généralisation du télé-travail, et les quelques fois où j’ai dû le reprendre, c’était tout à fait vivable.

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